• Une allée porte son nom à Montauban:

    Elle longe le parking  Consul Dupuy qui surplombe le jardin des plantes.

    Depuis quelques années, c'est sur ce parking que se déploie le marché du samedi matin.

     

    Lors du siège de Montauban, en 1621, Jacques Dupuy, lieutenant particulier au Sénéchal (magistrat qui juge au civil comme au criminel les causes relevant du tribunal du sénéchal de Quercy) est premier consul. Les autres consuls sont: Corneille Natalis, avocat, Pierre Lavernhe, marchand, Elie Gineste, notaire, et Mariet Viguery, grossier.

    En 2002, les Editions Privat ont  publié ce bel ouvrage, présenté et commenté par Janine Garrisson et illustré par Paul Duchein à partir du texte de Hector Joly.

     

    Aux Archives Départementales il existe aussi deux livres de raison qui relatent les évènements du siège de 1621

    Jean Natalis 9 J 38

    Pierre Bouchaud 9 J 28

     

    versions côté Louis XIII

    sur gallica

     

     

    Les consuls ont donc organisé la ville pour qu'elle puisse résister à un long siège.

    source: http://www.centredupatrimoine.montauban.com/uploads/files/expo%20Fantomes%20montalbanais%20illustres%20et%20m%C3%A9connus_compress%C3%A9.pdf

    Quelques documents complémentaires concernants Jacques Dupuy: 

    -les annonces du mariage de ses parents:

    AD82 en ligne consistoire  de Caussade

    - Le contrat de mariage de Jean Dupuy avec Paule Colom Jean Brandalac 5 E 219

    Le 21 avril 1623. Paule Colom, fille de  Bernard et de Catherine Pécholier,  apporte une dot conséquente de 20 000 livres

    C'est leur deuxième mariage.

    Paule Colom est veuve de Daniel Petit, marchand de Montauban

    et Jacques Dupuy est veuf de Jeanne Brassac dont-il a au moins 3 enfants: Paule (née  en 1616), Marqueze (née en 1618) et Ramond (né en 1621), tous baptisés au Consistoire de Montauban.

    - le décès de Jacques Dupuy, le 20 avril 1676 à Réalville.

    C'est son petit fils Paul Valada qui déclare le décès.

    -Mais le document le plus intéressant, c'est le testament de Paule Colom. le 20 mars 1655, publié le jeudi 1 juin 1656 (elle est décédée le mardi précédent).

    Jean Charles a fait une transcription de ce testament: ici

    En 1655, Paule Colom se dit délaissée par Jacques Dupuy depuis 27 années qu'il est absent du royaume.

    C'est dans le livre de Henry de France "les montalbanais du Refuge" que j'ai appris la suite de son histoire.

     

    Henri II de Rohan

    Yahoo!

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  • Nous sommes au XIV e siècle à Montauban et dans le Tarn et Garonne...

    Imaginez, la France de cette époque:

     

    source: http://houot.alain.pagesperso-orange.fr/Hist/ma/MA_47.htm

    Une grande partie de notre région se trouve sous domination anglaise suite au traité de Brétigny en 1360.

    Le traité est rompu en 1368 par Charles V.

    Je vous laisse découvrir l'histoire de Ratier de Belfort ici

     dix sombres années s'annoncent pour Montauban et sa région...

     

    Martine

    Yahoo!

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  • De nombreux brouillons d'article en cours, mais pas encore assez de matière pour les compléter...

    Difficile de se rendre aux AD82 pour avancer avec les registres des notaires: 4 lecteurs dans la salle de lecture et il faut réserver à l'avance. Quand on improvise au saut du lit ce qu'on va faire dans la journée, difficile de respecter ce cadre.

    Et n'ayant plus de relevés de registres notariaux  à faire, je me suis lancée dans l'exploration des registres  paroissiaux en ligne....

     

    Aujourd'hui, les registres des sépultures du Consistoire 1628-1656.

    1628: les victimes des attaques à Lamothe d'Ardus, à Labastide Saint Pierre.

    1629: la peste...

     

    et de temps en temps des actes comme ceux-ci:

    un tondeur de draps hollandais "flamand de nation" en février 1631:

     

    Bernard Lafleur, marchand de Montpellier logé chez  Antoine Bosquet, en avril 1632

     Et la même année, un pasteur Jean Gardesy 

     

    pour lequel j'ai trouvé quelques renseignements:

    https://books.google.fr/books?id=_JfPkKYqpukC&pg=PA292&lpg=PA292&dq=gardesy+jean+pasteur&source=bl&ots=vURRP4kB92&sig=ACfU3U3BY2XTp2Y_4hPJM-z74CSSXErRmQ&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjImfzI3LjrAhVKxoUKHQ6oAJIQ6AEwCXoECAkQAQ#v=onepage&q=gardesy%20jean%20pasteur&f=false

     Jean Gardesy avait son épouse à Montauban (peut-être aussi des enfants...). Par contre Jean Tenans, aussi cité dans cette note est marié à Montauban avec Marie Tagaut dont il a plusieurs enfants qui se marient à Montauban.

    Une de ses filles Magdeleine, épouse de Jean Sonis (originaire de Lectoure), docteur en médecine, est morte de la peste le 30 octobre 1629 (vue 13/95 registre consistoire), laissant au moins 7 enfants dont le plus âgé est né en 1606.

          

     

     

     Antoine Lafon, pasteur, originaire d'Auvergne qui meurt en 1636 chez ?

     

    Richaut Poyntz, en 1643, un gentilhomme anglais qui passait par là, logé chez Joseph Maugenc

    En 1639, un anglais, Guillaume Nemil qui meurt à l'hôpital

    Ah! le pauvre Estienne Guilhermy, compagnon chirurgien qui vient apprendre le métier chez Guillaume Pelepoul en 1643

     

    Ah! Cette fois, en 1644, un autochtone:  Esaye Peyrille, pasteur, peut-être celui qui est fils de Pierre, bourgeois et de Isabeau Subgié

     

    Il est mentionné dans le testament de son père en 1616 

    AD82 J Brandalac 5 E 219

    Il est alors étudiant en théologie.

    En 1617, il est parrain d'un de ses neveux, fils de Daniel, son frère époux de Jeanne Garrisson ( AD 82 vue 65/104 regsitre du consistoire en ligne)

     

     

    Puis aussi en 1644, un citoyen suisse, un certain Quit?, chez Benjamin Corbiac

     

     

     

     

    Encore en 1644, la triste histoire d'un jeune étudiant (Richié)  de l'académie de Montauban, natif de Marennes, qui s'est noyé dans le Tarn.

     

     

    et pour finir pour aujourd'hui, à la vue 33/95, Robert de Vismes agé de plus de 88 ans, en avril 1648 

    Ce monsieur, Robert Vismes a épousé en septembre 1603 la demoiselle Bernarde Beroard (veuve d'un bourgeois de Montauban).

    Lors de son dernier testament en 1648 (chez Joseph Ynard), il vit dans la maison de son gendre Michel Leclerc.

    C'est en faisant quelques recherches sur  Internet que je découvre que Robert de Vismes serait d'origine écossaise, comme de nombreux professeurs des académies protestantes (Sedan, Montpellier, Montauban)  https://www.jstor.org/stable/24286613?seq=2#metadata_info_tab_contents

     

    https://books.google.fr/books?id=FZ6ieEkT46IC&pg=PA280&lpg=PA280&dq=robertus+vimeus+scotus&source=bl&ots=oJtxElpxKU&sig=ACfU3U0EceCx-SDGnlioPnjfkz6IV2PRYw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwi0-qHAm7vrAhVExhoKHRJ7By8Q6AEwB3oECAkQAQ#v=onepage&q=robertus%20vimeus%20scotus&f=false

    J'ai repéré dans divers contrats d'autres professeurs étrangers. d'autres articles suivront lorque je pourrais compléter ceux qui sont encore en brouillon.

     

    Pour le moment, je me suis arrêtée à la vue 33 du  3 e 121-12gg37 (1628-1656)

     

    Martine

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  • Il manquait le testament d'André Jeanbon Saint André à mon précédent article

    La recherche a été simplifiée par les relevés de Fabienne. Je connaissais la cote du registre et le notaire: Etienne Plancade 5 E 2129.

    Premier problème: la magasinier ne trouvait pas le registre dans le batiment D1, niveau 2, magasin C, épi 14, travée 9, table 5. Il n'était pas très loin...   

     

       

     

    Dans un carton, deux chemises:

    une Etienne Plancade 1727-1771

    et une autre Garrigues 1771-1810

     

    Etienne Plancade est notaire de 1727 à 1771 et Pierre jacob Garrigues de 1771 à 1810.

     

    Dans chaque chemise des testaments avec leurs cachets de cire et d'autres sous-chemises avec la mention " ouvert à l'atelier de restauration des AD 82 le lundi 21 août 2017"

     

    Fabienne est passée par là en 2017 et s'est trouvée avec un certain nombre de testaments encore clos. 

        

    Le testament d'André Jeanbon Saint André n'était pas dans la chemise Plancade, mais dans la chemise Garrigues.  Pour être exact, il faudrait donc écrire que son testament a été déposé chez maître Pierre Jacob Garrigues, notaire à Montauban.

      

    Le voilà!!!

                              

     

      

    à noter

     

    13 octobre 1789...

    On découvre simplement qu'il a épousé Marie de Suc. Il ne semble pas y avoir d'enfants pour ce couple. André Jeanbon Saint André a une affection particulière avec Marie André Belluc son neveu (fils de sa soeur Jeanne et de et de Jean Belluc, minotier). Marie André Belluc aurait suivi son oncle André Jeanbon à Mayence, lorqu'il y a été nommé préfet.  https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_Mayence#La_r%C3%A9publique_de_Mayence

    Il semble avoir eu une descendance à Mayence https://gw.geneanet.org/pierfit?lang=fr&p=marie+andre&n=belluc 

    Jean Bon Saint André est décédé à Mayence en 1813. Son testament déposé à montauban en 1789 n'a été ouvert qu'en 1952, plus d'un siècle après...

     

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  • Au pied de l'Ancien Collège, côté rue Bessieres, se trouve ce buste de André Jeanbon St André

    https://e-monumen.net/patrimoine-monumental/monument-jeanbon-saint-andre-montauban/

        

    photo MC été 2018

    Il ne s'agit pas ici de réécrire l'histoire de André Jeanbon Saint André. Des liens suivront en fin d'article.

    Les registres paroissiaux en ligne des AD82 et les relevés de quelques notaires de Montauban permettent d'apporter quelques compléments.

    C'est ainsi que que nous pouvons trouver le baptème d'André Jeanbon, né le 25 février 1749:

    AD82 en ligne

     

    André Jeanbon naît dans cette maison Grand Rue de Villenouvelle

    photos MC juillet 2020

     

        

    et est baptisé dans cette église Saint Jean de Villenouvelle

    Une plaque est apposée sur la façade de sa maison natale avec une petite erreur de date de naissance

     

    Le mariage de ses parents a été célébré en l'Eglise St Jacques à Montauban le 14 janvier 1740. (vue 3/63).

    Les baptèmes des enfants se feront ensuite en l'église de Villenouvelle.

    Un contrat de mariage a été établi, un an plus tard, chez le notaire  Etienne Plancade (5E 1176) 

     

    L’an 1741 et le treizième jour du mois de février

    Antoine Jeanbon, facturier fils de Jean Jeanbon aussi facturier et de feue Paule Rousset, mariés, assisté de son père habitant du faubourg de Villenouvelle de cette ville, d’une part, et demoiselle Marie Molles fille du sr Jean Molles, facturier et de feue jaquette Estampes mariés habitante de Villenouvelle, assistée de son père habitant du faubourg de campagne.

    Le mariage a été célébré le 14 janvier 1740 par feu Me Ducos curé de la paroisse St Jacques de Montauban.

    Jean Jeanbon a émancipé de sa puissance paternelle le dit Antoine Jeanbon, son fils, libre de pouvoir à l’avenir tester, contracter, négocier, faire profits particuliers et généralement tout ce qu’une personne libre peut faire, se réservant néanmoins l’honneur et respect que son fils lui doit. Il fait don à son fils de la moitié de tous et chacun de ses biens présents pour que son fils en jouisse dès aujourd’hui, en payant à l’avenir la moitié des charges des immeubles. La valeur des biens est estimée à 490 livres.

    Jean Molles constitue en dot à sa fille 2000 livres en argent et les effets suivants évalués à 300 livres : un lit composé de son bois de noyer, paillasse, couette et coussin garnis de plumes, une couverte de laine, une courte pointe, et des rideaux de cadis vert, une armoire bois noyer à deux portes, une table bois noyer, une paire de chenets de fer garnis de laiton et un miroir. Elle ne pourra plus rien demander sur les biens et  droits de André Estampes son aïeul et de François et autre Antoine Molles ses frères tous décédés.

    Ont signé avec les parties Paul Portal marchand et Pierre Dumas praticiens

     

    merci à Fabienne pour les photos numériques

     

    Voici une partie de la descendance du couple Antoine Jeanbon X Marie Molles

    Nous pouvons continuer avec d'autres photos de Fabienne, par exemple le contrat de mariage de Jean JEANBON et Paule ROUSSET retenu par Jean Deiche II - 5E 1863 MONTAUBAN

     

     

    Aujourd’hui 2 avril 1703, après midi à Villenouvelle de fossat de Montauban

    Jean Jeanbon garçon peigneur de laine fils de feu Alexandre Jeanbon sarger et de Marie Lacaze mariés, habitants de Villenouvelle, assisté de sa mère, de Michel Bergis peigneur de laine son beau frère et autres parents

    Paule Rousset, fille de André Rousset tailleur d’habits et de Jeanne Marty, habitants de Villenouvelle.

    Maraiage solennisé en l’église catholique apostolique et romaine.

    André Rousset a donné et constitué en dot de son chef propre à sa fille, la somme de 400 livres, une robe rase noire et une bague d’or (soit 100 livres avec les meubles de maison) , les 300 livres seront payées dans 3 ans.

    Marie Lacaze, mère de l’époux, fait donation entre  vifs pure simple et irrévocable le la moitié de ses biens présents et à venir (reste de sa dot, constituée à feu Alexandre Jeanbon). Elle a préalablement constitué la dot de sa fille Antoinette Jeanbon épouse de Michel Bergis.

     

    Présents :

    Bernard et Pierre Alran frères, Jean Jacques Rouffio, Jean Bayart tisserand tous habitants de Villenouvelle

     

    Voici l'ascendance Jeanbon que j'obtiens à partir du père d'André Jeanbon

     

    J'ai trouvé les annonces du mariage d'Alexandre Jeanbon X  Marie Lacaze dans les registres du consistoire  le 30 décembre 1659 (vue 97/135), mais il n'y a aucun élément sur les parents. A ce jour pas de testament ni contrat de mariage relevé par le groupe.

    C'est du côté de Marie Molles (mère d'André Jeanbon) que j'ai trouvé plus d'éléments.

    en cliquant sur l'arbre vous pouvez ouvrir une fenêtre pour l'agrandir.

     

    C'est Fabienne qui m'a transmis les photos du contrat de mariage de Jean Molles, facturier et de Jaquette Estampes retenu à Montauban par Jean Jacques Nègre 5 E 1132. 

     

    Aujourd’hui 27 novembre 1702, dans la maison d’André Estampes marchand facturier

    Jean Molles, facturier, fils de Antoine Molles maître tisserand et de Marguerite Dalran mariés assisté de ses père et mère.

    Jacquette Estampes fille du dit André Estampes et de Antoinette Galy mariés assistée de ses père et mère

    Mariage sera solennisé en l’église catholique apostolique et romaine à la première réquisition.

    Le dit molles père émancipe son fils. Il lui fait donation pure et simple entre vifs et à jamais irrévocable d’une maison et jardin au faubourg de campagne bâtie le bas de muraille de briques couverte de tuiles canal, confrontant du devant avec la grande rue du dit faubourg, d’un côté avec maison et jardin des héritiers de Pierre Serres, forgeron, du fond avec jardin des héritiers de Mr Garrisson, secrétaire du roi,  de l’autre côté avec maison et jardin des héritiers de Pierre Delmas, maître charpentier. Plus une pièce de terre divisée en 5 clos à Bas-pays avec un petit bâtiment de terre couvert de tuiles canal. Plus la somme de 1000 livres donné en argent comptant à son fils, plus un chalet bois de noyer, paillasse, couette,, coussin, replis de plumes, couverte laine et « garnimant » de toile blanche, plus un coffre bois noyer avec sa serrure et clef, douze linceuls la moitié toile de brin et l’autre moitié de palmette, deux douzaines de serviettes.

    Les dits Estampes et Galy mariés ont donné et constitués en dot également la somme de 1500 livres, un chalet bois de noyer avec son fond, paillasse, couette et coussin remplis de plume, une courtepointe de laine et « garnimant »de cadis vert, un coffre bois noyer, un chaudron de cuivre tenant une cruche et demi d’eau, une poêle cuivre, une paire de chenets avec deux pommes de laiton, une peinte d’étain de six pouchons, et une robe pour le jour de la noce. Tous les meubles de valeur de 300 livres compris en la sus dite constitution et légat de la somme de 100 livres et meubles fait à la future épouse par feu Jaquette Langry veuve de Pierre Galy, facturier, son aïeule et marraine dans  son dernier et valable testament du 27 février 1686 retenu par Seguy, notaire sur le registre de Jacques Rigaud aussi notaire

    Présents : Antoine Molles tisserand, frère du futur époux, Jean Conte maître tailleur d’habits son oncle, Guillaume Fezandié maître boulanger oncle de la future épouse, Jacques Faure bstoul sarger son cousin, Pierre Brandalac ancien notaire, Pierre Causse procureur au sénéchal, , Adam Belvze bourgeois, Pierre Barbazan marchand

     

     

     

    C'est du côté ESTAMPES que j'ai trouvé des éléments dans mes relevés.

    Revenons à l'histoire d'André Jeanbon...

    En 1777, il est pasteur à Castres (signature dans les registres du consistoire de Castres AD81 en ligne)

      

    Je n'ai pas su trouver son mariage avec Marie de SUC.

     

    Quelques articles trouvés sur Internet concernant la vie de André Jeanbon et comprendre, pourquoi ce nom de  André Jeanbon Saint André, baron d'empire.

     https://www.huguenots.fr/2015/02/de-montauban-a-mayence-letonnante-destinee-dandre-jeanbon-saint-andre/

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57876219.r=jeanbon%20saint%20andr%C3%A9?rk=42918;4

    http://la-brochure.over-blog.com/article-jeanbon-saint-andre-et-l-education-120439655.html

     

     Et pour conclure un testament de André Jeanbon Saint André déposé à Montauban chez Etienne Plancade (5E 2129) Fabienne m'avait transmis les photos de ce testament, mais sachant qu'il y avait 80 testaments dans ce "registre", j'ai eu la curiosité de chercher toute seule...

    suite: A la recherche du testament de André Jeanbon Saint André

     

    Martine

     

     

    Yahoo!

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