• Dans le château royal de Montauban

    Nous voici à Montauban en décembre 1638

    Le notaire Jean Brandalac, suivi de  Pierre Lescure, marchand, David Petit bourgeois, Jean Petit, maître chirurgien, Pierre Saby, concierge, Jean Deiche, praticien, Jean Laroze compagnon chirurgien

     

    et Barthelemy Lescure , laboureur du 

    se rendent au château royal de Montauban pour recueillir le testament de 

     

       Pierre Lavedie du lieu de Vaylats

     

    Vaylats est un charmant petit village du Lot  

     

     

     

    Lequel étant couché dans un lit à une chambre du château qui est dessus le crouton (?) pour raison de plusieurs blessures qu'il a sur son corps lui ayant été faites comme il a dit par noble Bernard Goudol sr du dit Vaylats, ses mère et femme, de Ramond Delom sr del Fraisse et autres en nombre de huit à neuf...

    Pierre Lavedie souhaite être enseveli chrétiennement suivant l'ordre de la religion catholique

    Françoise de Carit, sa mère est son héritière universelle et générale. Il souhaite que ses biens puissent revenir aux enfants mâles de Antoine et Jean Lavédie ses frères, ou à François et autre Pierre Lavidie, frères , ses cousins, fils de François. 

     

    Je ne connais pas la suite de l'histoire. Pierre Lavedie a-t-il survécu à ses blessures? Les seigneurs Godal et Delom ont-ils été inquiétés? Pourquoi  se sont-ils tous acharnés sur lui?  Comment est-il arrivé à Montauban?

     

    à partir de photos d'un registre de Jean Brandalac, notaire à Montauban 5 E 234 AD 82

     

    Martine

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  • Commentaires

    1
    André
    Dimanche 20 Septembre 2020 à 21:55

    Bonjour,

    "crouton"  est une adaptation de l'occitan "croutou/ croton" diminutif de "croto/ cròta" (du grec crypta). Il peut désigner une cave, une crypte, un cachot, un réduit vouté.

     

    André

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