• Difficile de retrouver tout le monde avec pour seule aide les registres matricules militaires et les registres d'état civil en ligne. Cette famille BLANC est une "institution montalbanaise". "Montauban, Blanc, Rugby" et vous découvrirez tout ce petite monde. Je savais, avant de me lancer dans ces articles sur les "instituteurs poilus" pour compléter le tableau publié sur le blog que j'allais "rencontrer" des membres de cette famille. Lors de l'inhumation de mon grand-père en 1973, j'ai entendu ma grand-mère dire "Blanc était là". Dans les cartes de condoléances, je retrouve certains noms... 

    Mon oncle, né en 1928 (ancien joueur amateur de rugby), "exilé" dans les Yvelines, ne manquait pas à chaque passage à Montauban lorsqu'il rendait visite à la famille de demander des nouvelles de "Blanc", de rapporter qu'il avait parlé de "Blanc" chez son coiffeur montalbanais attitré. 

    Je n'ai pas posé les questions au bon moment et maintenant, je n'ai plus personne pour y répondre...

    Voici ce que j'ai trouvé sur la famille BLANC de Montauban, à partir d'Alexandre, cordonnier et de Jeanne COURDY, couturière.

     

    Il y a certainement des filles, mais il serait trop difficile de les trouver..

     

    L'ainé, Paul Henri BLANC est né en 1887 à Toulouse. 

    Le concernant, je vous invite à suivre le forum : 

    Rugby et rugbymen pendant la Grande Guerre 

    Le 18 avril 1909, il participe au match qui reste dans les annales du rugby montalbanais.

    https://www.ladepeche.fr/article/2009/04/18/594012-100-ans-union-sportive-montauban-soulevait-premier-bouclier.html

    Mais le 4 août 1916, il est tué à l'ennemi dans la Somme

    http://www.chtimiste.com/batailles1418/1916somme1.htm

    Il faut saluer le travail qui a été réalisé  ici et qui est régulièrement mis à jour.

     

    -Le cadet  Emile Germain Marie Joseph BLANC  né le 28 janvier 1895 à Montauban.

    Incorporé en décembre 1914, il sera blessé : 

    FM

    Il est témoin lors du mariage de son jeune frère, comme employé de commerce. 

     

     

     

    Il prendra pour épouse une jeune veuve de guerre en octobre 1919 à Vaissac. Est présent à son mariage, un instituteur de 29 ans dont je n'ai encore trouvé aucun renseignement (Laurent Poujade)

    - Le "cadet 2", Germain, Michel, Edouard BLANC, né le 15 février 1897 sera incorporé le 11 janvier 1916, comme son collègue Bernard SEGALAS TALOUS.  19 ans semble être l'âge pour être envoyé sur le Front (mon grand-père né en 1896, l'a été  en janvier 1915) Il a été blessé, puisque sa fiche matricule renseigne "une inclusion de deux projectiles au niveau du poumon droit et gauche" et des difficultés de marche à cause de blessures à la cuisse et au pied. Lieutenant d'administration, il sera rappelé en 1939 à l'hôpital militaire d'Auch. Comme père de 3 enfants vivants il sera "rayé des cadres" en mars 1940.

    C'est en lisant son acte de mariage que j'ai compris pourquoi j'ai si souvent entendu "j'ai vu Blanc", "j'ai discuté avec Blanc"

     En cliquant sur l'image vous lirez peut-être mieux.

    Les deux témoins de ce mariage de Germain, Michel, Edouard BLANC avec Rose SEGALAS TALOUS, le 6 avril 1920 à Montauban, sont Emile BLANC, employé de commerce et Paul BREGAL, instituteur, domiciliés à Montauban.

    Emile BLANC est le petit frère de l'époux et Paul BREGAL est ... mon grand-père. Quant à Rose SEGAELAS TALOUS, c'est la soeur de Bernard SEGALAS TALOUS

    et le Benjamin Marcel Hippolythe Germain Joseph BLANC, né le 29 avril 1899 à Montauban semble avoir échappé à la guerre 14-18. Il est dit "mécanicien ajusteur" sur sa fiche martricule militaire

     

     

    Quelques liens supplémentaires: 

    https://www.ladepeche.fr/article/2010/02/23/783302-montauban-blanc-la-famille-ovale.html

    https://www.ladepeche.fr/2020/02/12/didier-blanc-sen-est-alle,8726819.php

     

    les instituteurs durant la guerre de 14-18

     

    Yahoo!

    votre commentaire
  • Trouvé dans un Annuaire du Tarn et Garonne.

    pour se faire une idée des coûts des transports : statistiques des salaires de 1853 à 1871

    Yahoo!

    votre commentaire
  • Je n'imaginais pas que les extraits du Journal d'Henri Pouvillon du 13 septembre au 18 septembre transmis par Sophie, donneraient matière à 3 articles.

    En relisant la Presse de cette période, on réalise bien les tensions entre pays. Une certaine inquiétude règne, mais personne n'imagine ce qui arrivera quelques mois plus tard.

    J'ai cherché des contemporains de cette période qui auraient pu, comme Henri Pouvillon, tenir un journal.

    Pour le moment j'en ai trouvé deux. La différence avec celui d'Henri Pouvillon, c'est qu'il s'agit de textes qui ont été repris par les auteurs lorqu'ils ont publié leur journal.

    Il s'agit de Marcel Sémézies (né en 1858) dans Mémoires de ma vie et de mon temps et de André Delmas (né en 1899) dans Mémoires d'un instituteur syndicaliste.  

     

    Marcel Sémézies

     

     

    [Durant cet été 1913 il se trouve donc à Montauban et il peut assister aux Grandes manœuvres d’armée d’]une importance exceptionnelle et [qui]devinrent un événement militaire. Elles se déroulèrent en entier entre Toulouse et Montauban. Comme I’on y faisait un essai de mobilisation générale du corps armée et comme I’on y essayait de nouvelles tactiques de combat, toutes choses que le bon sens in­diquait de garder discrètement pour soi, on s'empressa avec cet absurde illogisme qui distingue nos gouvernements, d'y convier toute l’Europe et de dévoiler tous nos secrets. Toutes les puissances envoyèrent des délégations militaires, il y eut un train spécial d’officiers étrangers dont le quartier général fut installé à Monlauban. Le gouvernement se livra pour eux à des dépenses folles, avant-coureur du gaspillage  de 1914. Les officiers étrangers furent logés en ville dans les meilleures maisons particulières, chacun ayant à son service un cuirassier envoyé de Paris et une automobile de luxe envoyée aussi de Paris. La grande salle de la marie fut affectée à leur table et l’Hôtel du Midi chargé de leur servir matin et soir des repas somptueux. Tout un service d’officiers d’Etat Major fut mis à leurs ordres pour les guider et leur tenir compagnie. Tous les jours, 50 ou 60 limousines  les prenaient après le déjeuner, les portaient au centre des opérations de l’armée et les ramenaient pour le repas du soir. La  République fut splendidement royale . La municipalite avait voulu loger, chez moi deux étrangers mais je m’y refusai nettement : je jugeais cela stupide et ne voulus  pas participer à cette sottise.

    Or, un jour, dans le trajet de Montauban à Grisolles, à un tournant brusque mal pris par un conducteur parisien, la limousine portant un des délégués allemand, le major de Winterleld capota et l’Allemand eut le ventre broyé. Avec l’Allemagne, c'était une guigne. Le blessé était intransportable, on l’installa dans la maison bourgeoise la plus proche dont on expulsa les habitants en leur payant une formidable indemnité, et on mit autour du blessé trois médecins militaires, dont le Dr Voivenel de Toulouse, et  le Dr  Petit, de  Montauban, plus un  ou deux officiers d’Etat  Major et tout un service de valets et d’infirmières. Un grand spécialiste de Paris vint aider le chirurgiens militaires à recoudre le ventre de l'Allemand, et tout ce qu'il fallait faire fut fait sur le plus grand pied. Le Kaiser daigna remercier La République et distribua aux chirurgiens et aux généraux de la région une profusion de croix allemandes. Win­terleld vécut ainsi là près d'un an aux frais de la France, se déclarant toujours intrans­portable. et sa femme vint l'y rejoindre et s'y installer jusqu'à sa guérison. Sa femme ? Il  parut  plus t ard  presque  prouvé que la  très  belle  jeune  femme venue ainsi habiter parmi nous n'était pas la baronne de Winterfeld, mais un agent exceptionnel- lement intelligent du Service de Renseignements de l'Allemagne."

    [...] A la déclaration  de guerre, les Winterfeld étaient encore à Grisolles [...]. On mit le blessé et sa compagne dans un wagon de luxe et on les dirigea sur St Se­bastian […] Là comme par enchantement, l'intransportable major se trouva si bien guéri qu’il rejoignit le front allemand comme lieutenant-colonel. L'armistice le trouva général et il fit partie de la délégation envoyée au Maréchal Foch pour régler les détails de la convention. On lui avait donné la Légion d'Honneur à Grisolles, comme geste de courtoisie, et il arriva chez le Maréchal avec sa croix. Le Maréchal marcha droit sur lui et tendant le doigt vers la croix, lui dit sèchement : « Avant tout, Monsieur. Ôtez cela»>. Docile, comme les Allemands le sont toujours devant un ges­te fort, le général baron de Winterfeld détacha la décoration française et la mit dans sa poche. L’épisode de l'accident de Grisolles et de l'espionne déguisée en épouse alarmée est un détail intéressant de l'histoire franco-allemande.

     

     

    André Delmas

     

     

    Encore fallait-il qu’un incident de caractère dramatique secouât l’opinion. Dirai-je que, dans notre département, nous crûmes discerner cet évènement historique dans un accident de la route survenu à l’automne 1913 au cours des grandes manœuvres du sud-ouest ? Il s’agissait de montrer à tous les attachés militaires étrangers de quoi était capable l'armée française sur une grande étendue de territoire débarrassée des récoltes de l'année. Le président de la République, Raymond Poincaré, nouvellement élu, était venu assister à la phase décisive des opérations. Je l'avais vu traverser la ville en voiture découverte, le maire à ses côtés, escorté par des cuirassiers à cheval en tenue de parade qu'on avait fait venir spécialement de Tours. Plus que le président, c'était l'escorte cara­colante qui avait frappé mon esprit. Avec une cavalerie aussi brillante, les risques d'une attitude provocante de leur part devaient apparaître clairement aux Allemands. J'allai me rendre compte moi-même de l'effet qu'avaient pu produire sur les attachés militaires étrangers le compor­tement de nos régiments pendant les manœuvres. J'étais au premier rang, près du grand portail du musée Ingres, pour contempler les beaux uniformes de ces attachés lors du dîner de gala que leur offrait un soir le gouvernement de la République. L'attaché militaire allemand était le plus attendu. Il ne vint pas, et pour cause. Il avait été victime d'un très grave accident d'automobile sur la route de Toulouse, au dan­gereux tournant de la côte de Canals. Le lieutenant-colonel von Winterfeld avait été si grièvement atteint qu'on l'avait jugé intransportable ; on l'avait recueilli dans une maison de Grisolles et les médecins ne pouvaient pas se prononcer sur ses chances de survie.

    Les bruits les plus extravagants circulèrent. Qui conduisait la voi­ture ? Un militaire français ou un soldat allemand ? L'accident résul­tait-il d'un attentat, d'un sabotage de l'auto, de l'imprudence d'un atte­lage français mal placé dans le tournant ? On avait déclenché des guerres pour des motifs plus futiles dans le passé. Si le colonel trépassait, Guil­laume II ne voudrait-il pas rendre la France entière responsable de cette mort ?

    Von Winterfeld survécut. Quelques mois plus tard, il rentra en Allemagne. On ne vit reparaître son nom dans nos journaux qu'à la fin de l'année 1918. Il était alors général et ce fut lui qui reçut de Foch le texte des conditions de l'armistice dans le wagon de Rethondes.

     

     

     

    peut-être d'autres témoignages à suivre...

    Yahoo!

    votre commentaire
  •  

    Avec l'article précédent , nous avons découvert les officiers étrangers présents lors des Grandes Manoeuvres.   

    https://rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/ark:/12148/bpt6k53837965/f1.item.zoom

    L'un d'entre-eux, a également fait l'objet d'articles réguliers dans la Presse ... J'ai photographié La Dépêche aux AD82 La Dépêche AD 82 PER 360 R art. 1913-9

    Dans l'édition du 17 septembre 1913, on pouvait lire: 

     

    et le lendemain

        

     

    et tous les jours, un nouveau bulletin...

     


     

     

     

     

     

    Et je vais m'arrêter là pour les bulletins de santé du colonel Von Winterfeld...

    La vie dans la ville de Grisolles a dû être assez longuement perturbée par cet évènement...

    Mais sachez tout de même que ce colonel a été très bien soigné puisque le voici quelques années plus tard ici:

    à gauche avec un casque à pointe, lors de la signature de l'Armistice en 1918, comme "attaché militaire parlant couramment français "  https://fr.wikipedia.org/wiki/Armistice_de_1918

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Detlof_von_Winterfeldt 

     

     suite ici

     

     

     

    Yahoo!

    votre commentaire
  • Le 27 juillet 2021, je recevais un message de Sophie

     

    Bonjour Martine, j'ai trouvé dans le journal de mon grand-père quelques pages qui me semblent surréalistes en regard de la grande boucherie de l'année suivante.

    [...]

    J'ai pensé que ce serait intéressant d'écrire un article là-dessus dans le blog vers le 15 septembre (date anniversaire).
    Qu'en penses-tu ?

     

     

     

     Sophie nous avait déjà fait partager des extraits des carnets de son grand-père, Henri Pouvillon, pour le centenaire de l'Armistice de la guerre 14-18 

    http://gendep82.eklablog.com/le-journal-d-henri-pouvillon-en-1918-a149105078

    et concernant les inondations de 1930

    http://gendep82.eklablog.com/extraits-du-journal-d-henri-pouvillon-a146161912

     

     

    Samedi 13 septembre 1913

    Départ pour Montauban. La ville est animée, pleine de monde. C’est ce soir qu’arrive le corps des officiers étrangers. De somptueuses limousines sillonnent les rues. On cause des manœuvres au café.

    Dimanche 14 septembre

    Étienne et Coco[1] sont venus après déjeuner et nous sommes tous allés voir à la mairie la sortie du banquet du ministre de la guerre Étienne aux officiers étrangers. Une pléiade de généraux, une attente infinie et quelques uniformes élégants mais presque tous semblables. Les casquettes russes, bulgares, allemandes sont fort jolies. L’officier russe a été entouré et applaudi par la foule qui se suspendait à ses basques. Nous étions serrés comme des harengs dans la boutique de Bouis.

    Lundi 15 septembre

    Nous allons avec Coco, Pierre et Étienne à Merville pour suivre les manœuvres. Il fait heureusement assez beau. Nous prenons nos bécanes et le train pour Grenade et arrivons à Merville pour déjeuner. Après, petite reconnaissance à bicyclette. Nous sommes montés jusqu’à Daux où nous trouvons quelques fantassins éparpillés, puis à Montégut[2] plein de camions et de hussards. De là, montée vers Mondonville, descendons dans un exquis vallon, une vraie oasis dans un désert de chaumes, qui nous conduit jusqu’à Aussonne et retour à Merville dans la nuit.

    Mardi 16 septembre

    Assez beau. Nous partons à 5 h pour Montégut où nous supposons qu’aura lieu l’attaque. Là, 2 bataillons du 122, tranchées, mitrailleuses et 2 batteries d’artillerie masquées derrière des bois. Beaucoup de public, mais la bataille ne commence pas. Fatigués, nous descendons à Montégut et nous allons à Lévignac, bondé d’autos, de soldats, de curieux. Achat de pain et de vin et charmant petit déjeuner à l’ombre d’un noyer. Nous grimpons par une côte fort longue à une métairie qui a une vue magnifique sur la vallée de la Save et où l’on croit que va se faire l’attaque. Quelques aéroplanes extrêmement lointains, des dirigeables, mais c’est tout jusqu’au soir. Pas d’attaque. Retraite charmante sur Merville par une fort jolie route dans la forêt de Bouconne.

    Mercredi 17 septembre

    Très belle aurore, mais froide. Nous partons à 5 h pour Montégut. Nous entendons des coups de canon, une bataille terrible du côté de l’Isle-Jourdain. Nous ne savons où aller. Enfin, nous revenons par une route impossible de boue dans la forêt de Bouconne jusqu’à la ferme au-dessus de Lévignac où nous étions hier soir. Là, 2 batteries d’artillerie et une division d’infanterie, à peu près 4000 hommes. La bataille commence. Le canon tonne derrière nous pendant que les fantassins s’éparpillent dans la plaine. Nous descendons dans la plaine et assistons à la défaite de la division des marsouins le long de la Save. Retour à Merville, déjeuner, et partis pour Montauban.

    Jeudi 18 septembre

    Nous sommes allés à la mairie voir passer le Président Poincaré. Les rues regorgeaient de monde et les oriflammes claquaient au vent. Les cuirasses lançaient des éclairs et le sympathique président est passé au milieu des acclamations.

     

    [1]Son frère et le fils de celui-ci âgé de 13 ans

    [2]Aujourd’hui Montaigut-sur-Save

    Henri Pouvillon

     

     

     

    Nous sommes en septembre 1913.

    Raymond Poincaré a été élu quelques mois auparavant Président de la République.

    Il a succédé à Armand Fallières ( pour qui « la place n'est pas mauvaise, mais il n'y a pas d'avancement ») qui s'est retiré dans ses terres du Lot et Garonne 

     

     Toutes les puissances européennes organisent chaque année des grandes manœuvres, que ce soit l'Allemagne, la France, le Royaume-Uni ou la Russie. 

    En France elles s'organisent en automne (après les récoltes) et sont  l'occasion de tester l'entraînement des troupes et des états-majors, de tester les règlements d'emploi et le nouveau matériel, mais aussi de montrer la puissance de la force militaire organisatrice aux autres États, représentés par des attachés militaires ainsi que par des journalistes.

    100 000 hommes, 2 armées s'affrontent:

    le parti rouge avec le général Chomer

    le parti bleu avec le général Pau

    sous la direction du général Joffre

     

     

    https://rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/ark:/12148/bpt6k53837965/f1.item.zoom

     

     

     

    Le  Colonel Russe (je pense qu'il s'agit de celui-ci ) eut particulièrement de succès.

    Le commandant allemand est celui-ci a du rester longtemps dans les mémoires... 

        

    Toute l'organisation était mise en place pour le ravitallement des troupes. Des camions boulangerie étaient installés à Castelsarrasin par exemple.

    La Dépêche AD 82 PER 360 R art. 1913-9

     

     

    Voici le menu d'un repas servi à 180 convives à Montauban le 13 septembre

     

     

     

         

     La Dépêche AD 82 PER 360 R art. 1913-9

     

    Quelques éléments pour comprendre le contexte de l'époque :

    http://bonus.loucrup65.fr/grandesmanoeuvres.htm

     

     

     D'autres émissions: https://www.franceinter.fr/emissions/si-nous-vivions-en-1913

      

    Nous connaissons la suite...

    Mais tous les spectateurs de ces grandes manoeuvres ne pouvaient l'imaginer.

    Tout était pensé par les Etats Majors pour qu'une guerre soit brève, disait-on...

    Yahoo!

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique