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famille BERAULD

Voici un contrat de mariage comme on aime en trouver pour sa généalogie:

Jean Brandalac 5 E 211

C'est le 6 ème registre de Jean Brandalac en 1612: il s'agit du contrat de mariage de Pierre DARBUS, bourgeois de Montauban avec Suzanne BERAULD.

     est fille de Théophile Bérauld docteur en droit et juge de Négrepelisse et de feu Catherine de Prat

Chacun des futurs époux est assisté de membres de sa famille.

Par exemple, Pierre Darbus bourgeois de Montauban est assisté de sa mère Marie Lalauze et de sa grand-mère Cécile Durand (veuve de Jean Lalauze, bourgeois).

Suzanne Bérauld est assistée de Anne de Maupean, son aïeule paternelle.

Un peu plus loin dans le contrat il est question de feu Michel Bérauld, ministre du Saint Evangile, professeur de théologie à l'Académie de Montauban, son grand père et de Jeanne Blanchard, son aïeule maternelle.

Ce simple contrat de mariage permet de connaitre une bonne partie de l'ascendance de la future épouse.

On aimerait tous en trouver souvent des comme ça...

 

 Parmi les présents:

Pierre Berauld ministre du St Evangile de Pamiers...

Une signature m'intrigue. C'est celle de ce Pierre Vacher, praticien de Montauban.

Il est présent, la même année dans les signatures d'un autre contrat de mariage. 

 

 

Jean Brandalac 5 E 211

Théophile Bérauld est présent lors de ce mariage.

Le demoiselle Anne Vacher a pour parents: Dominique Vacher, procureur en cour royale de Montauban

et de Abigail Bérauld. Je ne peux pas établir qu'elle est la soeur de Michel Bérauld pour le moment.

Cet article  ici  permet de mieux connaître les deux pasteurs Michel Bérauld et son fils Pierre.

Michel semble originaire du Mans.

    Tout près de l'église Saint Jacques à Montauban, il faut se rendre dans cette rue, pour trouver la maison où résidait la famille Bérauld.

 

  

C'est la maison de gauche et voici la plaque apposée sur la façade:

 

 

 

Voici ce qui est écrit au dessus de la porte d'entrée de la maison:

un soleil avec ses rayons et des mots grecs : « d’utilité commune » et les mots latins : « NON SIBI (non pour soi) »ce qui amenait son fils Pierre à faire cette constatation : « Je n’entre jamais chez moi que je n’y voie la devise de mon père : un soleil  ‘d’utilité publique’ avec un ‘NON SIBI’ en dessoubs. »

  

et l'académie de Montauban, se trouvait au bout de cette rue (à droite)

 

Martine 

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