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La sériciculture

J'ai découvert la sériciculture dans le Tarn et Garonne avec mon aïeul Adrien Maurice AVY

  AVY Adrien né [sans indication]. demeurant à Labastide-Saint-Pierre (Tarn-etGaronne) agriculteur ; membre du Comice agricole et de la Chambre consultative d'agriculture du département ; a notamment importé dans le département la culture du mûrier et de la garance. secteur(s) d'activité : Agriculture. grade(s) dans la Légion d'honneur : chevalier le 15 août 1854. date(s) du dossier : 1852-1854.  

résumé Base Léonore

Et c'est l'article sur Antoine COUDERCfilateur et manufacturier qui m'a fait découvrir d'autres éléments concernant l'importance de cette "culture dans le département.

 

C'est dans un recueil agronomique du Tarn et Garonne que j'ai trouvé quelques données et quelques patronymes qui peuvent intéresser certains d'entre vous.

(si vous cliquez sur l'image le recueil s'ouvrira au début de l'article)

Voici par exemple la production de cocons pour l'année:

Dans le département 817 éducateurs (éleveurs). C'est assez considérable par rapport aux départements voisins.

Une commission se réunie pour classer les qualités de cocons afin de distribuer des primes à chaque producteur.

Ainsi, une prime de 200 francs doit être attribuée au plus beau lot de plus 150 kg.  conccurents sont en lice et c'est M. LARROQUE gendre CALAS demeurant à Corbarieu qui obtient la prime.

Pour les lots de plus de 100 kg, 5 primes de 100 francs sont distribuées  

 

Pour les lots de plus de 50 kg, il y avait 14 conccurents, 8 ont été retenus.

Je remarque qu'il y a 4 "éducatrices" primées. Je ne sais pas si dans le divers actes les concernant est signalé: "éducatrice de vers à soie) 

 

et pour finir les lots de plus de 30 kg avec une prime de 30 francs

Il restait 250 francs de primes à distribuer qui ce sont répartis ainsi:

Mais on commence à s'inquiéter concernant les maladies des vers à soie...

 

Vous me direz si vous trouvez un des votres dans ces listes...

Martine

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M
le superbe travail de Sophie, je viens à peine de comprendre pourquoi ce matin j'avais ces photos dans mes mails<br />      <br /> <br /> et l'on découvre des nouveaux talents de Sophie...<br /> J'ai justement des vieux livres à restaurer et je ne sais pas comment m'y prendre sans faire de bêtises. Il faut que je trouve des cours de reliure et de restauration...<br /> Il est vraiment superbe ton livre.
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M
https://blog.defi-ecologique.com/elevage-du-ver-a-soie-chez-soi/<br /> et je ne sais pas s'il n'y a pas eu un gadget de Pif avec des oeufs...
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M
Je me doutais que tu allais réagir.<br /> Mais ça pouvait être un passe temps. Et les deux frères faisaient un concours ou des recherches<br /> On en élevait bien dans les écoles pour étudier le ver à soie. On recevait "les graines" comme ils disent, les oeufs en fait. On voyait les chenilles, puis la chrysalide et le papillon.<br /> J'ai feuilleté quelques "recueils agronomiques" et il y avait des "graines de chercheur". 
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S
Effectivement, je suis très surprise de trouver le nom de Soleville dans ces listes, Léon mon trisaïeul (beau-père d'Emile Pouvillon) et son frère Emmanuel (le poète). Léon (1824-1866) est simplement noté comme "propriétaire" dans les actes que j'ai. Je ne sais pas du tout où ils exerçaient cette activité. Probablement pas dans Montauban même.<br /> J'ai récupéré de la bibliothèque familiale un "Manuel complet du magnanier - ou l'art d'élever les vers-à-soie et de cultiver le mûrier" édité en 1831, peut-être était-ce à lui ?<br /> Sophie
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